Foire aux questions

Les projets financés par le fonds « Charaka » doivent être en PPP. Ceci étant, MCA n’a pas voulu figer le modèle de gouvernance des centres de FP, en laissant le choix ouvert aux candidats pour choisir le modèle de gouvernance adéquat qui répond aux exigences de qualité définies dans l’appel à projets.

Il est à noter que les modalités de gestion du centre seront formalisées dans une convention signée entre toutes les parties et qui définira les rôles et les responsabilités de chacune d’elles. 

  • L’estimation doit spécifier le budget de chaque composante (infrastructure, assistance technique, équipements…) et spécifier ce que les partenaires prendront en charge tel que mentionné dans la section 8 de l’appel à projet : « Coût du projet et financement (Contribution des partenaires) »

Oui, tous les équipements transférés d’autres centres existants vers le centre à réhabiliter ou à créer peuvent être considérés comme contribution s’ils seront dédiés à ce centre.

Par contre, le budget de développement des programmes de formation déjà élaborés dans d’autres cadres et qui sont opérationnels dans d’autres centres de formation ne peut pas être considéré comme contribution au budget du projet.

  • Le fonds « Charaka » prévoit de fournir un appui au coût de fonctionnement, c’est-à-dire il ne couvrira qu’une partie des frais de fonctionnement. 

  • Pour le cas des créations, le fonds financera une partie des salaires du personnel. Or, pour les réhabilitations, et vu que le personnel est déjà sur place, le Fonds ne contribuera au financement des salaires que pour les cas de recrutement de contractuels ou de nouveaux profils. 

Il s’agit des textes fondateurs relatifs aux différents partenaires. Chaque organisme est un cas à part et il n’existe pas un document standard pour prouver le statut juridique des partenaires. 

  • Oui, la contribution peut être soit en numéraire soit en nature. 

  • Le fonds « Charaka » est ouvert pour investir dans toutes les régions, tous les secteurs à condition que ces centres aient un taux de rentabilité économique supérieur à 10% sur 20 ans et que leurs budgets soient dans les fourchettes fixées pour les créations et les réhabilitations/reconversions. 

Le fonds exige des partenaires obligatoires qui sont le partenaire privé (organisation ou association professionnelle) et le partenaire public (ministère, opérateur de formation professionnelle public, établissement/Entreprise/Agence publique).

Il est vivement encouragé que d’autres partenaires se joignent à ces deux catégories de partenaires tels que les ONG, les établissements de formation professionnelle privée, les régions, les collectivités locales…etc.

  • Est –il possible d’avoir une équipe projet qui supervise l’ensemble des projets d’un partenaire donné ?